Au Canada, Sanders Gelsing avait déjà relevé la publication d’une marque SEX (citée sur Now, why didn’t I think of that ?).
C’est bien connu : le sexe fait vendre (les études le prouvent : cf. Brand Autopsy: Sex Sells), mais à condition d’être « subtil », précise Le Matin (Le sexe hard ne fait plus vendre, 4/2/2006). D’ailleurs, le mot SEX a un certain appeal à lui seul : le nom de domaine sex.com, après quelques tourments, a été vendu autours de $15 millions et c’est le nom de domaine le plus convoité pour l’extension .eu.
Le dépôt de la marque SEXE ci-dessus vise aussi bien des semences (graines) (jusque là tout va bien…) que des appats vivants pour la pêche ou encore diverses boissons. Outre un don particulier pour le choix de ses marques, le titulaire de celle-ci a des talents d’inventeur (Contre soleil et vent, une toile révolutionnaire, Job Du Midi).