« Les hommes politiques sont des marques ? » demande Marcel Botton sur le blog de Nomen, où il fait la promotion de son dernier ouvrage :
« Du logo au look, du slogan au discours, quels sont les outils qui augmentent leur chance de figurer au palmarès des marques préférées des Français… Marcel Botton s’est amusé à appliquer aux hommes et femmes politiques les outils et méthodes qui sont habituellement utilisées pour les marques commerciales. »
Le fait que les marques et la classe politique se rapprochent, se croisent, usent et abusent parfois les uns les autres, tout cela les lecteurs du pMdM le savent déjà. La campagne des présidentielles de 2007 et les municipales de 2008 ont été l’occasion d’une utilisation absolument sans précédent en France de la propriété industrielle dans le domaine de la politique. Avec nos moyens empiriques, nous avions décelé divers litiges et une quantité étonnante de dépôts évoquant très directement les candidats à forte exposition médiatique.
A la question de Marcel Botton, le pMdM a déjà plus ou moins répondu par les billets suivants :
- Tous ensemble pour changer demain autrement (où étaient rappelées à fort bon escient par Cédric Manara les dispositions de l’article L. 711-3)
- Affrontements politiques autours des noms et des marques
- Madame Soleil – Cécilia Voyance
- Ségolène attire les dépôts de marques
- Segolene on top
- Si Sarko n’existait pas …
- Ségolène, tout pour plaire
- Sarkozy la bière du président
- Essai non transformé
- Adéquation entre marques et candidats à la présidentielle
- Panafieu 2008
- Sarko
- Bernadette Chirac
et au delà de nos contrées :