Quand, comme Liane (pardon Tarzan, Eliane) on sait qu’un dépôt fait sous pseudonyme a été jugé nul (TGI Paris, 19 mai 1988, PIBD 1988 III 431 N°441), on s’épargne les mésaventures de « René Fornieri » (j’aurais dit Hervé), qui sans atteindre la nullité, sont narrées (avec toujours le même talent) par Isabelle Meunier-Coeur dans la revue Propriété Industrielle (n°9, septembre 2003, p. 5, n°88).
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