Dans cet entretien, Michel Arnoux, chef du service anti-contrefaçon de la Fédération horlogère suisse, révèle l’étonnante origine atomique de contrefaçons :
«A Zurich, on a saisi des pièces fortement radioactives. Ce n’était pas le cadran lumineux qui était en cause, comme on l’a d’abord cru. Mais les montres étaient fabriquées avec de l’acier récupéré d’une centrale nucléaire japonaise démantelée, acier qui avait été revendu en Chine!»