Au Japon, les noms de marques et les enseignes évoquant la France ont un succès étonnant. Aux milieu de kanji, hiragana et katakanas trop hermétiques, on reconnait de temps en temps des caractères latins (romanjis) qui peuvent composer des mots français – ou presque-. L’attrait des nippons pour notre langue donne parfois des choses pittoresques, suspendues quelque part entre le français et le japonais et constituant cette chose savoureuse qu’est le franponais.
La galerie ci-dessus représentent une sélection de ce que j’ai pu observer localement. On peut voir d’autres marques franponaises en cherchant bien dans les archives du pMdM et sur :
- le site de référence sur ce sujet : lefranponais.fr, dont l’éditeur a aussi publié des ouvrages consacrés au phénomène,
- le blog d’Aala, un gaijin au Japon,
- le site de nezumi dumousseau.