En 1953, un monsieur (habitant dans une rue portant son nom) était un précurseur es-mixologie.
En plus de cela, il maniait le plein et le délié avec un certain art. On peut imaginer d’où lui est venue l’inspiration qui lui fit prolonger la partie inférieure du premier C. Sa façon de boucler la partie supérieure du second n’est pas allée jusqu’à la copie conforme du tracé d’un certain Frank M. Robinson.
c’est quand même meilleur avec du Schweppes !