Dans un billet précédant, nous avions une collection de marques anciennes constituées d’un pronom relatif, orthographié « ki » et suivi d’un verbe décrivant, le plus souvent, l’effet attendu du produit.
Il apparait que cette façon de créer des néologismes commerciaux a été très prisée au milieu du XXème siècle, tant abondent les exemples, tous dénichés de façon hasardeuse, en feuilletant les Bulletins Officiels de ces décennies.
Voici donc une deuxième livrée de marques construites façon KIRI.
Nous avions donc les marques :
Le shampooing Ky boucle, Kipez (pour des appareils de pesage), Tourne-plat Kivir (pour un appareil destiné à tourner les plats dans les fours ménagers), Kilébon (pour du vin), Kitunett (pour des armes à feu), Kipous (pour des engrais), La pelle Kimaid, Bois Ki-Su-Fi (pour des semelles de bois), Kilak (pour de l’encaustique), Kismet (pour des bas et chaussettes), Koltou (pour des colles), Kin Pik Pas (pour des toiles), Kin-Kasspah (pour des articles de pêche), Kigliss (pour divers produits, dont par exemple des cloches), La bretelle d’épaule Ki-sport, La brosse Ki-démêl’, ou encore Kiroule (pour des rouleaux à peindre).
Kidimieu (pour des fromages) ?